vendredi 18 mai 2012

BILLET D’HUMEUR

 
Le fils conducteur de notre voyage en Angleterre, au mois d'avril,  était « Sur les traces de Jeux Olympiques ». On connaît le légendaire flegme britannique, mais pousser à ce point là la retenue, c’est affligeant.
A moins de 100 jours de l’ouverture des J.O., aucun signe dans Londres ne montrait que prochainement cette capitale allait être la cible des regards et des caméras du monde entier.
Dans les magasins, aucun gadget commémoratif, aucune mascotte des J.O. en vente.
Dans les rues, aucune affiche, aucun panneau, aucun drapeau, aucun écran pour annoncer ce futur évènement.
Au stade de Wembley, que nous avons visité, et qui accueillera les finales féminines et masculines de football, aucun sigle Olympique en vue.
A Greenwish Park, lieu du futur site de l’équitation et du pentathlon moderne, des installations qui se montaient, mais le quidam moyen ne sait pas pourquoi !
A Horse Guard Parade, des gradins inhabituels faisaient plus penser à une cérémonie protocolaire, qu’au lieu qui accueillera très prochainement la compétition de beach –volley.
La seule trace officielle que nous ayons trouvé des JO de Londres se trouve à Trafalgar Square : une discrète horloge décompte les heures, minutes et secondes avant le début de la cérémonie d’ouverture !
Il nous restera également des photos avec la mascotte officielle de … la Corée du Sud !
Encadrée par de pétillantes demoiselles arborant le slogan  «All eyes on Koréa », la peluche à taille humaine de l’équipe de Corée est devenue la véritable vedette des J.O. de Londres !

C NICOLAZO


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